samedi 10 septembre 2011
l'alcool : un inhibiteur de scrupules
L'alcool consommé, une petite quantité s'en va de l'estomac au sang et environ 90% est assimilé par
l'intestin grêle. L'eau, les sels minéraux et l'alcool commencent à être absorbés au niveau de l'estomac.
L'état psychologique de l'individu peut favoriser l'augmentation de ses effets. Une personne stressée,
attristée ou fatiguée risque de se sentir plus affectée à la suite de la consommation de quelques verres.
Une équipe de chercheurs américains a démontré une nuance dans l'effet de l'alcool sur notre cerveau
nous apprend MaxiSciences.S'il altère notre comportement, il ne réduit pas notre conscience de mal agir, mais seulement la
préoccupation ou la gêne que cela occasionne.
Contrairement aux sujets à jeun, les personnes ayant consommé de l'alcool n'avaient pas le réflexe de
réduire "instinctivement" leur vitesse d'exécution à la suite d'une erreur pour se "reconcentrer" sur leur
tâche.
L'alcool ne réduit pas la prise de conscience des erreurs, il réduit l'intensité avec laquelle la personne
s'inquiète de faire ces erreurs" conclut le Professeur Bruce Bartholow et son équipe de psychologues de
l'Université du Missouri.
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