dimanche 4 septembre 2011

troubles du sommeil


L'insomnie est difficile à définir car il n'existe pas de "norme" en matière de sommeil.
Wikipédia nous explique que le terme a été créé au 16ème siècle sur la base du latin insomnia
somniculus, "état de celui qui dort" et signifie la privation de sommeil.
Certaines personnes dorment naturellement peu d'heures par nuit sans répercussion néfaste. Elles
ne sont pas insomniaques.
D'autres ont des difficultés à trouver le sommeil. 70% des français se plaignent d'insomnie.
Aux Etats Unis, l'insomnie toucherait aujourd'hui près de 23% des travailleurs et coûterait chaque
année plus de 63 milliards de dollars en perte de productivité nous informe MaxiSciences.

Une enquête sur la santé dans les collectivités canadiennes révèle
13% des canadiens âgés de 15 ans et plus font de l'insomnie chronique,
36,5% des insomniaques ne se sentent pas reposés au réveil,
9,2% des gens qui disent ne pas faire d'insomnie sont fatigués le matin.
L'enquête révèle que les personnes touchées par l'insomnie dorment en moyenne 1 heure de moins que les
gens qui n'en font pas.
En France, sept Français sur 10 sont somnolents. 54% des personnes interrogées éprouvent une forte
baisse de vigilance au cours de la journée alors qu'ils ont bien dormi la nuit précédente.
21% des Français souffriraient d'un problème de somnolence pathologique.
Dans les jeunes de 18 à 25 ans, plus de 36% se déclarent somnolents. Cela est lié au problème
d'horaires de lever et de coucher, qui peuvent entraîner un décalage des rythmes à l'origine d'un manque
de sommeil important.


Lorsque le sommeil se fait rare, chaque nuit peut devenir un véritable cauchemar.
Toutes les formes de stress peuvent causer une hyperstimulation du système d'éveil :
bruit, anxiété, traumatisme , hyperactivité intellectuelle ou physique.
Le manque de sommeil est responsable de fatigue, d'irritabilité, de manque de concentration.

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