Les dermatoglyphes, empreintes laisées par la face palmaire des mains, la plante des pieds, les doigts et les
empreintes sur une surface, sont le résultat du contact entre les crêtes papillaires et le support laissant des sueurs, sécrétions grasses, acides aminés et déchets.
Le site de la police scientifique nous apprend que les empreintes digitales sont toutes différentes d'un individu à l'autre ainsi que pour les différents doigts des mains d'une personne.
On y trouve des figures connues sur chaque ligne appelées minuties telles que les bifurcations, les crochets, les
ponts, les arrêts de ligne, les lacs, les ilôts ...
L'AFP nous apprend que l'empreinte plantaire révèle l'identité du marcheur presque aussi sûrement que ses empreintes digitales
assure une étude japonaise.
Une équipe de l'Université de Shinshu à Tokida au Japon, avec l'imagerie 3D et une modélisation informatique,
a analysé le coup de talon, le basculement vers la pointe des pieds et la poussée exercée par les orteils de plus
d'une centaine de volontaires.
Cette technique mesure comment le pied frappe le sol et se soulève au cours de la marche.
On pourrait appliquer cette nouvelle technologie dans les contrôles de sécurité, dans les aéroports, pour les
distributeurs de billets, pour les accès aux bâtiments.
L'empreinte plantaire pourrait rejoindre le contrôle rétinien, la reconnaissance vocale et les bonnes vieilles photos anthropométriques comme preuve d'identification suggèrent les chercheurs.
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