Photos Reuters/François Mori
la salle de négociation du G20 au ministère de l'Economie et des Finances
C'est ce qu'on appelle un accord à l'arraché!
La présidence française du G20 a arraché in extremis à Paris un compromis à la Chine sur les
indicateurs censés établir un diagnostic partagé des déséquilibres économiques mondiaux.
Les indicateurs finalement retenus comprennent :
la dette et les déficits publics,
l'épargne et les investissements,
la balance commerciale et le solde des investissements courants.
Cette liste ne prend pas en compte les réserves de change, l'une des mesures les plus
controversées.
Ces indicateurs, montrés du doigt pour avoir nourri la crise mondiale et la "guerre des
monnaies" qui ont fait rage à l'automne, ont "fait l'objet du plus long débat, de la plus longue négociation"
"Tout le monde était bien d'accord pour considérer quel e système monétaire ne va pas être refait en un jour, ni même en un an"
a reconnu la ministre française des Finances Christine Lagarde.
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