Le Parisien
Quatre mineurs originaires de Seine Saint-Denis ont été placés en garde à vue
après le racket de deux collégiens de 13 ans qui sortaient du collège Sainte-Geneviève.
Trois d'entre eux sont originaires de Bobigny. Les agresseurs auraient giflé l'un des
collégiens avant de lui voler son téléphone portable et son portefeuille avant de prendre
la fuite à pied.
Ils ont été interpellés très rapidement par une brigade locale et placés en garde à vue
Ils ont été interpellés très rapidement par une brigade locale et placés en garde à vue
au commissariat du 6ème arrondissement.
Un enfant agressé est presque toujours malheureux. Il n'a plus confiance en lui et se sent
finalement coupable de la violence dont il a été victime.
Il rechighe à aller à l'école.
Il est prudent d'expliquer aux jeunes les formes que peut prendre la violence
et les moyens de s'en protéger.
"Obliger quelqu'un, par la menace ou la force, à donner de l'argent ou des objets, c'est
du racket et c'est un délit. Le coupable, ce n'est en aucun cas la victime, mais l'agresseur.
Ne rien dire, c'est inciter le racketteur à recommencer. Si tu es victime de racket ou
d'autres violences, il faut en parler à un adulte en qui tu as confiance." (eurowrc.org)
SOS violences 08.01.55.55.00 du lundi au vendredi de 9h à 18h.
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